Le moment de mes études où j’ai le plus appris en économie, en mathématiques, en langues.

Une grande fierté d’être allée au bout de ces 2 années très intenses.

De très bons souvenirs avec mes camarades (solidarité avec mon groupe de colle, entraide et aussi fun lors du challenge étudiant !) : c’est à Camille Vernet que j’ai créé mes plus belles amitiés.

Beaucoup de rigueur et de maturité, le goût du dépassement

(Marjorie Roustan, ECE, 2002-2004)

Faire ma prépa à Camille Vernet m’a permis d’acquérir toutes les connaissances et les méthodes nécessaires à la réussite des concours, que ce soit à l’écrit ou à l’oral, tout en passant deux très bonnes années où j’ai pu m’épanouir dans une très bonne ambiance (Solène Mathieu, ECS, 2006-2008)

Avec le recul, toutes les choses « moins marrantes » liées à la prépa (colles, DS, charge de travail, doutes liés aux concours…) disparaissent pour laisser toute la place au positif. La prépa, c’est beaucoup d’échanges, de rencontres, une ouverture sur le monde, sur l’autre, le dépassement de soi, un large spectre de connaissances. La prépa fait mûrir en ce sens qu’elle offre une formation de haute qualité, ouverte sur l’extérieur. La prépa permet également de mieux se connaitre et de gagner de l’assurance, de l’aisance relationnelle.

Toutes ces compétences sont essentielles pour la suite du parcours, aussi bien l’école de commerce que les stages et, à terme, l’entrée dans le monde du travail. (Eve Meysonnasse, ECS, 2006-2008)

A Camille Vernet, j'ai appris à travailler, j'ai acquis des méthodes de travail, de l'efficience. En sept ans d'études, j'ai l'impression que c'est lors de mon année valentinoise que j'ai le plus appris.

Cette année-là, la première loin de ma famille proche, m'a aussi rendu plus indépendant, plus autonome, plus responsable.

(Antoine  Calvier, ECS, 2007-2008)

Un environnement humain idéal : des professeurs disponibles et une très bonne ambiance de promotion.

Notre victoire historique au Challenge de l’Etudiant !

(Y.P., ECS, 2005-2007)

Une bonne capacité de travail, et une certaine « curiosité intellectuelle »

(Nicolas Simard, ECS, 2006-2008)

Une exceptionnelle ambiance de travail, des professeurs extrêmement proches de leurs élèves et la rencontre avec ceux qui sont toujours mes meilleurs amis

Apprendre à présenter les concours dans une ambiance à la fois studieuse et propice à la réflexion, une émulation entre étudiants, sans compétition

Géron Taupin, l’association étudiante dynamique en Prépa !

Des fous rires incontrôlables en colle le vendredi soir (si, si !!)

Et obtenir l’Edhec après deux années vraiment exceptionnelles, bien que studieuses (Caroline Ferradou, ECE, 1995-1997)

Mon passage en classe préparatoire m’a permis d’acquérir un bagage culturel très fort compte tenu de la variété des cours enseignés ainsi qu’une méthode de travail (discipline, rigueur, capacité de réaction et de résistance face au volume de travail…) que j’ai pu appliquée dans toutes mes expériences scolaires et professionnelles qui ont suivi.

 

Le fait d’avoir fait ma classe préparatoire à Camille Vernet m’a permis de vivre une expérience humaine très forte compte tenu de l’excellente ambiance qui règnait entre les élèves mais aussi des relations construites avec les professeurs qui se sont toujours fortement impliqués dans notre parcours et dans notre vie quotidienne mettant tout en œuvre pour favoriser notre réussite et nous proposer les meilleures conditions de travail pour surmonter les difficultés des deux années de préparation.

(Virginie Mathieu, ECE, 2000-2002)

Rigueur dans le travail et capacité de concentration.

(Thibaut, ECE, 2000-2002)

Suivre une classe prépa, c’est vivre des semaines chargées et intenses (colles, préparations, DS…) auprès de ses camarades, ce qui inexorablement débouche sur des amitiés fortes et structurantes. Ce que je retiens premièrement, ce sont donc ces relations amicales encore vivaces aujourd’hui. Deuxièmement, c’est la confirmation de mon intérêt pour les sciences sociales : j’ai pris énormément de plaisir durant les cours de philosophie et d’analyse économique et historique des sociétés contemporaines. Les deux années de prépa m’ont permis d’affiner mon projet d’orientation, à savoir devenir enseignant dans le domaine des sciences humaines. (Miguel Sarzier, ECE, 1999-2001)

Des bons souvenirs et de belles rencontres, mais aussi une méthode et un esprit d’analyse qui me servent au quotidien.

(Aurélie Duffes, ECE, 2003-2005)

La capacité à absorber une forte quantité de travail avec une échéance proche (Audrey JAMBON).

Un enseignement de qualité, des professeurs très attentionnés

(Laure Colombo, ECE, 2003 -2005).

Une bonne capacité de travail, et une certaine « curiosité intellectuelle ». (Nicolas SIMARD,  ECS, 2006 -2008)

 

 

J’y ai d’abord acquis une forte capacité de travail et de concentration. Ensuite cela m’a donné le goût d’apprendre, pas seulement parce que j’y étais obligé mais plusieurs professeurs m’ont véritablement donné envie de lire et de me cultiver davantage. (Julien DERIDET, ECE, 1995-1997)

Je crois que ce que j'ai le plus appris durant mon année à Camille Vernet, c'est la gestion de l'urgence et de mon temps personnel. On dit souvent que l'on acquiert en prépa des méthodes de travail, une rigueur pour toute la vie. Je pense avoir acquis d'abord à organiser mon temps. A quel moment je travaille, à quel moment je souffle ? Comment je gère ma sortie avec des potes et le DS de Maths ?

La charge de travail fait que si l'on veut tenir, avoir quand même du temps pour soi, pour vivre aussi, on apprend, et cela vient naturellement, à s'organiser, à se concentrer rapidement. C'est quelque chose qui me sert encore beaucoup aujourd'hui.

Enfin, j'ai essentiellement acquis lors du passage à Camille, à gérer l'urgence. Je me souviens d'avoir été dépassé par la charge de travail qui s'accumule, les devoirs à rendre.. Du coup, j'ai appris à ne plus trop paniquer face à l'urgence. C'est à dire à passer d'un stress paralysant à un stress efficace. « J'ai 2 kholles demain. J'ai pas revu les cours. Comment je gère pour limiter la casse, tout revoir et au final être prêt ». Cela a commencé comme cela. Aujourd'hui je retrouve tous les jours cette gestion de l'urgence et durant tout mon cursus, j'ai croisé nombre de gens qui paniquent, perdent leurs moyens dès qu'ils doivent faire face à plus d'une difficulté à la fois. (Raphaël Vantard, ECE 2002 -2003)

Une admission à Sup de Co Grenoble (entre autres),
un très bon niveau en langues vivantes, des bases de culture générale utiles à la compréhension du monde actuel, des cours de maths intéressants pour ceux qui aiment cette matière tout en ayant choisi d'autres études, un immense entraînement pour faire face, sans faille, à des volumes de travail impressionnants, sans négliger ni la qualité du rendu, ni le respect des délais. (Perrine Godon, ECS, 1996-1998)

Le plus important n'est pas de tout connaitre, mais d'avoir une tête bien faite. Et Camille aide avant tout à structurer la tête avant de la remplir.

(Pelletier, ep. Monnier Stéphanie, ECS, 1998-2001)

Que du bon -  bonne formation généraliste – le gout de l’effort intellectuel, l’esprit de synthèse et une culture générale accrue.

(Jérôme Lambert, Prépa ECE  2002-2004)

La prépa est une période difficile mais je garde un bon souvenir de Camille Vernet. Les professeurs sont attentifs à la progression de chacun et favorisent un esprit collectif.

Bien sûr, il faut travailler dur pendant 2 ans mais rien n’empêche de le faire dans une bonne ambiance. (Sandy  SERVES, ECE 1998-2000)

Les deux années de prépa m’ont apporté de la rigueur dans le travail, de l’aisance à l’oral et des facilités pour beaucoup d’examens écrits ou oraux que j’ai pu passer par la suite (Martin ROCH, Prépa ECE 2006 -2008).

En premier lieu, l’expérience inoubliable d’une classe (c'est-à-dire professeurs et élèves) soudée pour réussir un même objectif. Ensuite, je retire de ces deux années de prépa une maturité et un grandissement intellectuel que je pense incomparable à toute autre formation. (Yoann Jobard, Prépa ECE, 2006-2008)

Ma prépa à Camille Vernet m’a avant tout bien préparée aux concours (à la fois à l’écrit et à l’oral) et à la vie en école de commerce. La méthode de travail acquise me sert au quotidien et les personnes rencontrées au cours de ces deux ans sont devenues bien plus que des ami(e)s.

Ce sont aussi des moments magiques en khôlles, en simulation d’entretien ou encore au sein de Geron Taupin. J’ai aussi pu apprendre à gérer mon temps : être efficace dans mon travail au cours des deux années et surtout lors des révisions mais aussi être capable de souffler, savoir faire descendre la pression et apprécier les bons moments de détente sans culpabiliser. (Claire SEVENIER , ECE 2003-2005)

J'ai beaucoup aimé la taille humaine, familiale, des classes prépas de Camille Vernet.

Des profs qui nous soutenaient tout en étant exigeants ; même si objectivement ce n'était pas simple tous les jours.

Et puis les copains avec qui je suis toujours en contact 15 ans après !

(Maryline CHABANIS, ECE1996-1998)

Une vraie ouverture au monde, finalement la prépa nous prépare juste à se poser des questions. ça sert toute la vie (Valentin Reverdy, ECS 2007-2009)

Le travail et l’apprentissage de la rigueur.

Les cours de géopolitique

Les difficultés en maths !

Le challenge de l’étudiant !

(Ugo DARMEDRU ECS 2007-2009)

Tout d’abord des amis, avec qui j’ai gardé contact. Ensuite, ces 2 années d’intenses études m’ont permis de développer une capacité de travail conséquente. J’y ai acquis des connaissances et des softs skills qui me servent aujourd’hui au quotidien dans mon travail (Anglais, esprit de synthèse, capacité d’analyse…).

(Claire SAUTIER, ECS 2007-2009)